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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/101

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une demi-douzaine de soldats d’infanterie.

Cadenet s’approcha de Bernier et lui dit :

— Ceci est encore un tour de ce misérable Solérol, n’est-ce pas ?

Bernier le regarda et tressaillit.

— Il me semble que je vous ai déjà vu quelque part ? dit-il.

— C’est possible, fit Cadenet d’un ton railleur.

Bernier se frappa le front.