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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/11

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de le débarrasser du comte Henri de Vernières, en l’envoyant dans l’autre monde d’un coup de fusil.

Mais Solérol, qui avait ses plans pour l’avenir, avait refusé constamment.

Or, les deux hommes qui étaient rentrés, cette nuit-là, au château des Soulayes avec le chef de brigade, et que madame Solérol voyait pour la première fois, étaient comme Publicola, affublés de noms romains.

Le plus jeune se nommait Scœvola.

Le plus âgé, Curtius.