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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/145

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— Non, dit froidement le capitaine, je ne partirai pas.

— Mais pourquoi ?

— Parce que, il y a une heure, vous étiez les victimes d’un misérable calomniateur, et qu’il y avait gloire et devoir à vous défendre et à mourir pour vous…

— Et maintenant ?

— Maintenant, dit le capitaine, vous allez redevenir des royalistes qui conspirent, et je suis soldat de la république.

Cadenet haussa les épaules.