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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/156

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Qui donc Barras attendait-il ?

Son valet de chambre lui avait apporté le courrier du matin.

Barras avait parcouru et jeté au panier les lettres qu’il contenait…

Une seule l’avait fait tressaillir, puis froncer le sourcil.

Puis il l’avait rejetée sur le plateau de vermeil sans l’ouvrir, en disant :

— Ma foi !… je suis comme César… à demain… les affaires sérieuses,… ou du moins, à plus tard.