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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/161

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— Vous trouvez ? demanda Barras avec émotion.

— Pâle et bouleversé, mon cher…

— Mais…

— Ah !… mon pauvre ami ; reprit mademoiselle Lange d’un ton dégagé, je ne vous ai jamais vu ainsi… de mon temps…

— Angèle !…

— Non, parole d’honneur ! reprit-elle. Votre cœur battait moins vite…

— Je vous ai bien aimée pourtant, chère amie…