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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/199

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Le ciel était gris et bas, le froid rigoureux.

Une chaise de poste, partie d’Auxerre, le matin, entra dans la grande allée forestière qui conduisait au château des Soulayes, comme le jour baissait et allait s’éteindre.

Cette chaise de poste, attelée de trois chevaux vigoureux, le collier garni de grelots sonores, ne contenait qu’un seul voyageur, ou pour mieux dire une seule voyageuse…