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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/206

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— Oui, citoyenne.

— Et tu es allé souvent aux Soulayes ?

— J’y vais tous les jours. Mon père tient une ferme du château.

— Ah !

— Quand je dis ça, reprit le Bouquin, c’est une manière de parler, parce que, voyez-vous, sa ferme est brûlée…

— Vraiment ? et depuis quand ?

— Depuis six jours environ.

— Comment cela est il arrivé ?