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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/209

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Sur ces mots, le Bouquin crut devoir verser un pleur qu’il essuya du revers de sa manche, sur cette belle ferme de la Ravaudière que les royalistes avaient incendiée.

Mademoiselle Lange ne parut témoigner aucune surprise de ce qu’elle entendait.

Bien au contraire, elle sembla trouver tout naturel que les royalistes fussent, au dire de Bouquin, des misérables qu’il faudrait guillotiner jusqu’au dernier.