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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/224

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moiselle Lange ; la salua en homme qui sait à qui il a affaire.

Mademoiselle Lange connaissait également Scœvola pour l’avoir vu pénétrer chez Barras, le matin, à l’heure de son petit lever, son carnet bourré de notes de police.

— Citoyen, lui dit-elle, voulez-vous certifier au général que je suis bien mademoiselle Lange.

Scœvola salua une seconde fois avec respect.