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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/237

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— En outre, reprit Solérol, je suis inquiet touchant le capitaine Bernier. Il est mourant, mais il ne mourra pas ; et, s’il ne meurt pas, il parlera. Ah ! c’est une grande maladresse de ne l’avoir point achevé quand on a pris le château des Roches.

— Dame ! fit Scœvola, il avait une demi-douzaine de coups de baïonnette dans le corps ; et l’officier qui commandait le bataillon, et qui n’était pas, tu le penses bien, dans nos confidences, s’y est opposé. D’ail-