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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/241

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Solérol brisa le sceau du directeur, déchira l’enveloppe et reconnut sa lettre, en marge de laquelle Barras s’était contenté d’écrire :

« Faites tout ce que vous voudrez, les pleins pouvoirs sont accordés. »

L’officier d’ordonnance était venu de Paris à franc étrier ; mais mademoiselle Lange était partie une heure avant lui, et elle était arrivée la première.

Barras n’écrivait point au chef de bri-