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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/259

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— Madame, répondit Solérol qui essaya d’être galant, il n’est nul besoin pour moi de votre crédit auprès de Barras pour que je vous obéisse. Vous n’avez qu’à parler, je serai votre esclave.

— C’est fort aimable, dit-elle en riant, et c’est même prudent. Mais causons encore. Où en êtes-vous de vos opérations !

— Contre les incendiaires ?

— Oui.