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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/304

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Le corridor était silencieux et désert.

Vêtue d’un peignoir qu’elle avait à la hâte jeté sur ses épaules, mademoiselle Lange avança dans le corridor à petits pas, s’arrêta parfois pour écouter.

Elle entendit les mêmes plaintes dans le corridor et reconnut bientôt qu’elles partaient de la chambre voisine.

Alors, s’approchant de la porte, elle frappa doucement.

Au bruit, les plaintes cessèrent, puis une voix demanda distinctement :