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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/42

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Madame Solérol ne pensait plus à se débattre.

Elle s’était laissé lier les mains sans résistance, et Publicola l’insultait en lui disant :

— J’espère que je ne serai plus obligé de te servir, maintenant, citoyenne ! c’est le bourreau qui va entrer à ton service…

Curtius avait pris le général entre ses bras et le chargeait sur ses épaules.

Celui-ci continuait à vociférer :

— Ne lui fait pas de mal, Scœvola… il