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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/78

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qu’elle n’y rentrerait pas, madame Solérol, disons-nous, était chaussée de petits souliers très-minces, et à peine vêtue d’une robe de coin de feu.

L’air du matin était glacé.

Le capitaine lui jeta son manteau sur les épaules et lui dit :

Si vous êtes lasse, madame, je vous porterai.

— Mais où allons-nous ? fit-elle encore émue.

— Retrouver Henri.