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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/85

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jeune femme dans ses bras et se mit à courir.

Les coups de feu se succédaient.

Le capitaine courait à perdre haleine.

Enfin, toujours chargé de son fardeau, il atteignit la lisière de la forêt et s’arrêta un moment, fixant un œil hébété sur le spectacle qu’il avait devant lui.

Le manoir des Roches était enveloppé d’un nuage de fumée.

On eût dit un de ces épais brouillards