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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/129

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— Ah ! dit-il, vous allez au moulin.

— Oui, mon ami.

— Mais, faites excuse, d’où venez-vous ?

— Des Soulayes.

À ce nom, l’homme au corniau fronça le sourcil.

Ce mouvement n’échappa point à mademoiselle Lange.

— Voilà, pensa-t-elle, un homme qui n’aime pas le général Solérol.

Le braconnier reprit :