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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/149

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— Tu crois ?

— Dame ! où veux-tu qu’elle aille ?

— Heu ! heu ! dit l’honnête Curtius qui assistait à toutes les délibérations, je ne crois pas, moi.

— Ah bah !

— Elle aura bien pu soupçonner que ce farceur de Solérol est pour quelque chose dans cet accident.

— Eh bien ! je lui prouverai le contraire.

— Ah !