Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/164

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ments destinés à l’exploitation de la ferme.

Le Bouquin exerçait autour de lui une terreur bien légitime.

Sa réputation de méchanceté l’avait suivi du village et de l’école à la ferme, et de la ferme au château.

Les gens de la réserve, — ainsi nommait-on les fermiers de la petite ferme, — avaient considérablement peur du Bouquin.

On s’écartait devant lui, on lui faisait de la place comme à un grand personnage.