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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/203

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— C’est drôle ! fit le Bouquin, comme nous sommes loin du compte, papa.

— Vrai ?

— D’abord, je garde ce qui est à moi.

— Eh bien ! je dirai tout à Solérol.

— Vous ne lui direz rien, papa.

— Et pourquoi cela ?

— Parce que vous ne devez pas sortir d’ici à mon idée.

— Eh bien ?