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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/214

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— Hein ! qu’est-ce que tu chantes donc là ?

— La vérité.

— Ta mère a donné deux coups de couteau à Solérol.

— Oui.

— Tu es fou !

— Oh ! il n’était pas général, alors. Il était soldat, et un mauvais soldat, encore. C’était du temps du roi.

— Après ?