Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/230

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Quand ils furent à la porte, Brulé dit à Bouquin.

— Maintenant, donne-moi ton fusil ?

— Pourquoi faire ?

— Tour faire parler ta mère.

— C’est bien inutile, dit le Bouquin. Vous n’avez pas besoin de fusil, elle a assez peur de vous comme ça.

Et il demeura à la porte de la ferme.

Brulé entra seul.