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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/238

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— Je n’ai jamais menti, répondit la mère Brulé, qui était une sainte femme.

— Maîtresse, répondit Brulé, c’est une histoire de vingt ans qu’il faut que tu me dises.

La fermière tressaillit.

— Une histoire que je veux savoir.

Elle regarda avec une sorte d’étonnement craintif.

Brulé continua.

— Je n’ai pas le temps de t’arracher