Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/24

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— Pourquoi passons-nous par-là ? demanda l’amazone.

— C’est pour vous faire voir de belles ruines.

— Ah ! vraiment.

— Les ruines de l’ancien couvent des templiers.

— Mais, dit mademoiselle Lange, nous ne nous éloignons pas de l’Yonne ?

— Au contraire, nous tirons au plus court.

Le Bouquin avait pris un sentier qui cou-