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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/240

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elle. Vous savez bien qu’il venait souvent à la ferme.

— Ce n’est pas cela. Solérol a été amoureux de toi, dis ?

— Mais… qui a pu vous dire…

— Ça ne fait rien, réponds.

— Eh bien ! oui… il m’a longtemps poursuivie, tourmentée.

— Et tu lui as un jour donné deux coups de couteau.

La mère Brulé se prit à trembler de tous ses membres.