Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/242

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

devriez croire au moins que je suis une honnête femme.

Ces mots étaient si franchement et naïvement articulés que Brulé eut honte de sa question.

— Pardonne-moi, dit-il d’un ton bourru.

Et il fit un pas vers la porte.

Mais comme il allait en franchir le seuil, il revint sur ses pas.

— Femme, dit-il, je sais ce que je voulais savoir, mais je ne sais pas tout !…

— Je vous dis la vérité, maître.