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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/262

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— Ah ! viens, Brulé, dit Solérol, soupe avec moi ; Curtius et Scœvola me fatiguent.

— Parce qu’on lui parle de sa femme, dit Curtius.

— Oui, dit Solérol, je ne veux pas qu’il soit question d’elle. Parlons de la Lucrétia.

— Qu’est-ce que cela, demanda Brulé.

— C’est le nom d’une femme que j’ai aimée.

— Beaucoup ? fit Curtius.