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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/27

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— Ah ! fit mademoiselle Lange qui retomba dans sa rêverie.

Le Bouquin se mit à siffler un air de chasse et doubla le pas.

La jeune femme pensait.

— Ce bon général m’attendra longtemps pour déjeuner… Sa jument paraît avoir du fond ; elle passera l’Yonne à la nage, et dans trois heures je serai avec mes amis et mon bon Machefer.

Comme on le devine, mademoiselle Lange avait médité, la nuit, avec le capi-