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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/297

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La rue était solitaire, et cependant certaines personnes y passaient à heures fixes.

Le matin, comme six heures sonnaient, le baron voyait un jeune homme de vingt-sept ou vingt-huit ans, vêtu d’habits assez râpés, un gros portefeuille sous le bras, sortir de la maison voisine.

C’était un beau garçon, à la tête intelligente, au sourire triste et doux.

Le baron demanda un jour son nom au guichetier.