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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/300

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n’avait donné au baron ni plume ni papier pour écrire.

Un jour le clerc de notaire sortit plus tard qu’à l’ordinaire.

Le cœur du prisonnier battit d’angoisse et de jalousie ; il pensa que les deux jeunes gens allaient se rencontrer et que peut-être ils s’aimeraient.

Et ils se rencontrèrent, en effet, mais ils ne firent pas attention l’un à l’autre.

Alors M. de Buzancay respira.