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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/322

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— Et ça, parce que vous croyez que la Lucrèce s’est perdue pour lui ?

— Oui.

— Eh bien ! c’est des bêtises après tout ; la Lucrèce a aimé M. Henri, mais M. Henri n’a jamais aimé la Lucrèce.

— Tu en es sûr ?

— Oh ! fit le Bouquin, M. Henri, vous savez bien, aimait sa cousine.

— C’est pas une raison, murmura Brulé, ces nobles, ça se croit tout permis ;