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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/61

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armes, quand le Bouquin brandissait son couteau, elle se jeta sur lui.

Le Bouquin frappa.

Mais sa main avait tremblé, et le couteau glissa sur les côtes de mademoiselle Lange, rencontra les baleines du corset et s’y ébrécha, au lieu de pénétrer jusqu’au cœur.

En même temps, celle-ci prit le Bouquin à la gorge et le serra fortement.

D’origine populaire, mademoiselle Lange était d’une vigueur musculaire, que ne lais-