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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/76

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Cette question fit tressaillir le Bouquin.

— Réponds ! insista mademoiselle Lange.

— Il me donne ce que je veux : un, deux, dix écus… je ne sais pas, répondit-il.

— Pourquoi fais-tu le mal ?

Le Bouquin fut atrocement naïf.

— Parce que le bien ne rapporte rien.