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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/8

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brigade apparut, roulé dans son fauteuil par deux domestiques.

Il leva la tête et joua la surprise.

— Comment ! dit-il, vous êtes déjà levée, madame ?

— Oui, mon cher général, répondit mademoiselle Lange ; je suis très-matinale.

— Ah ! ah !…

— D’ailleurs j’ai si bien dormi…

— Et vous admiriez ma jument, ce me semble ? continua Solérol.