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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/80

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de sourire de cette cupide admiration pour l’or.

L’enfant n’osait bouger, mais la fixité de son regard, le frémissement nerveux qui parcourait tout son corps, et les impressions mobiles de sa physionomie tour à tour inquiète, cauteleuse, sauvage et cruelle, apprirent à la jeune femme que, si le Bouquin passait franchement au service de ses amis, il leur serait excessivement utile.