Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/83

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le Bouquin parut réfléchir.

— Madame, dit-il enfin, je suis un fier garnement, allez ! et si vous me payez bien, je vous servirai crânement.

— J’y compte.

— Voulez-vous que je mette le feu au château ?

— Quel château ?

— Les Soulayes.

— Non.