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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/85

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— Je vous conseillerais de me laisser assassiner le chef de brigade.

— Non, pas toi. D’ailleurs, ajouta mademoiselle Lange, cet homme ne doit point mourir d’un coup de poignard ni d’un coup de pistolet.

— Ah !

— Il doit mourir sur l’échafaud.