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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/92

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— Et je t’attacherai ensuite les jambes avec les courroies de la selle de ce malheureux cheval.

— Vous voulez donc me laisser ainsi ? fit le Bouquin avec effroi.

— Oui.

— Et vous vous en irez seule ?

— Seule. Je trouverai bien mon chemin à travers ces rochers.

— Mais, madame, murmura l’enfant avec terreur, savez-vous que si vous me laissez ici, garrotté, et dans l’impossibilité