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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/96

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— Des Vernières ?

— Justement.

— Et leur est-il resté fidèle ?

— Ah ! je crois bien.

— Il me passera de l’autre côté de l’Yonne ?

— Oui, il a un bateau.

— Eh bien ! dit mademoiselle Lange, la nuit prochaine, tu viendras attendre mes ordres à ce moulin.

— C’est bien, madame, j’y serai.