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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/218

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bonne petite jument charbonnière, qui est sage comme une jeune fille.

— Ah ! tant mieux…

— Vous craignez les chevaux vifs, fit Jean Bernin d’un air narquois.

— Non, pas précisément, mais…

— Mais vous les aimez doux, n’est-ce pas ? Allons, citoyen commissaire, le coup de l’étrier d’abord et le pied à l’étrier ensuite.

Dans la garde civique de Châtel-Censoir