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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/222

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de course et les cavaliers au trot ? demanda Jean Bernin.

— Non pas, non pas, dit Curtius effrayé. À quoi bon fatiguer ces braves gens ?

Jean Bernin, qui connaissait admirablement les bois, fit prendre à sa petite troupe le plus long, sous prétexte qu’en allant par le couvert on gagnait un temps considérable. Mais dès qu’on eut mis le pied sous les futaies, l’homme aux cheveux jaunes disparut.

Jusque-là, il était allé au pas, lentement,