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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/232

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jeta à bas de sa monture et courut à Brulé. Te voilà ! mon défenseur… mon ami…

Brulé haussa les épaules.

— Les brigands ne t’ont donc pas tué ?

— Quels brigands ?

— Ceux qui m’ont emmené.

Le brigadier avait mis pied à terre, et Jean Bernin et la garde civique faisaient cercle autour de Curtius.

Curtius, tout honteux, disait :

— Mais on a dû attaquer le château…