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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/251

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oublia que celui-ci était désormais son ennemi, et il le regarda avec une sorte de tendresse sauvage.

— Mais, sois tranquille, avant de me venger de Henri, je me vengerai de toi.

— Mais que t’ai-je donc fait, misérable ? demanda Solérol.

— Ce que tu m’as fait ?…

— Oui, ne t’ai-je pas donné de l’argent, autant que tu en as voulu ?

— Peuh !

— Ne t’es-tu pas assis à ma table ?