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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/309

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Il avait eu peur… non pour lui, mais pour l’homme à qui il s’était attaché corps et âme.

Cependant l’instinct de sa propre conservation avait fini par le dominer, et lorsqu’il avait vu qu’on était résolu à lui faire un mauvais parti, il s’était bien gardé de résister.

Il s’était laissé lier les pieds et les mains et avait demandé grâce pour sa vie.

— On ne te tuera pas, si tu nous laisses tranquille, lui avait dit Brulé.