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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/38

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lui, se montrait rarement en public et évitait de parler politique.

Un matin, les plus ardents patriotes de Châtel-Censoir étaient venus le trouver.

Ils étaient fort émus, chantaient la Marseillaise et demandaient à marcher contre les royalistes.

Jean Bernin les avait écoutés gravement, puis il leur avait répondu ces simples mots :

— J’attends des ordres.