Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/48

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

l’échafaud révolutionnaire, à tuer des lièvres, des cailles et des perdreaux.

Mais enfin, un jour, les membres du district s’émurent ; on dénonça les trois aristocrates au club des Droits de l’homme de la petite ville d’Avallon et on envoya une douzaine de municipaux pour les arrêter.

Les trois frères, qui se nommaient messieurs de Bessy, avaient des domestiques dévoués ; ils se barricadèrent, avec eux et soutinrent un siège.

Les vingt municipaux perdirent une de-