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— Oui.
— Mais, pourquoi faire ?
— Pour le délivrer, car il est en péril… les royalistes ont dû attaquer le château.
— Quand ?
— Cette nuit même.
Jean Bernin dit au brigadier :
— Tout ça est un peu obscur, il faut que le citoyen commissaire s’explique… il aura eu froid, et il a la langue embarrassée…