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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/74

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Cette fenêtre encadra une tête bizarre, étrange, qui mérite quelques lignes de silhouette.

Qu’on se figure une tête rougeaude, au nez épaté, dominant des lèvres minces et comme coupées au couteau, des petits yeux ronds, une chevelure jaune plus emmêlée qu’un écheveau de bourre de soie, et, éclairant tout cela, un sourire bizarre et presque indéfinissable, moitié stupide, moitié rusé.

— Viens, lui dit Jean Bernin.