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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/89

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Jean Bernin avait monté son vin le plus capiteux.

Il en versa deux amples rasades coup sur coup à Curtius, qui mangeait avec un appétit d’enfer.

— Mon cher commissaire, reprit Jean Bernin, maintenant que nous voilà bons amis, causons un peu.

— Causons, dit Curtius.

Jean Bernin cligna de l’œil.

— Voyons, de quoi s’agit-il ?