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Page:Porto-Riche - Bonheur manqué, 1889.djvu/23

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VI


Mars
au crayon.


Tu peux baisser la tête et boutonner tes gants
            Pour me dérober ton visage,
Tu ne peux interdire aux cœurs extravagants
            De tressaillir à ton passage.

Tu n’empêcheras pas qu’un bohème joyeux
            Fasse l’école buissonnière,
Et que tout mon bonheur soit au fond de tes yeux,
            Ô toi qui seras la dernière.